Nous aimons beaucoup déambuler dans les sex-shop. Pour acheter ce qui nous plaît, pour découvrir de nouvelles choses, côtoyer des personnes, pour l’atmosphère qui y règne.
La semaine dernière, nous nous y sommes rendus. À mon habitude et selon notre norme vestimentaire exigée par Maître, je porte une mini-jupe que je remonte un peu plus à mon arrivée dans le magasin. Je porte un décolleté plongeant qui met en valeur mes seins. Je ne porte aucun sous-vêtements pour que Maître dispose de mon corps où, quand et comme il le souhaite. À son habitude, Maître va jongler avec cette possibilité et jouer autant qu’il peut, sans se cacher ou très peu.
Je commence à regarder une robe blanche, sexy et chic. Cette robe attire également l’œil de Maître qui me verrait bien dedans. Nous continuons de déambuler entre les rayons. Maître me fait essayer différents colliers de soumission et une laisse que je peux choisir. Nous en profitons pour parler avec le vendeur qui me plaît et Maître le sait. Il me pince les tétons, les caresses, exhibe mes seins devant le vendeur et surtout devant les caméras.
Des hommes viennent des entrailles du magasin. Au moins une dizaine. Ils passent chacun leur tour, la tête bêche comme des enfants qui ont commis une bêtise. Maître s’étonne et s’en amuse avec son sourire en coin, narquois. Moi, je ne comprends pas : nous étions 3 dans le magasin et voilà une dizaine d’hommes. Je vais voir d’où ils sortent et je pénètre dans une salle obscure où est diffusé un film porno de piètre qualité. Je vais au milieu de la salle, je regarde une femme qui se rhabille. Maître m’a cherché et a fini par me trouver. J’ai fait la bêtise de ne pas lui dire où j’allais. Hors, je n’ai pas le droit de m’éloigner de lui pour qu’il puisse me protéger au cas où. Je dois toujours être visible. Aucun reproche cependant. Maître commence à m’embrasser et me toucher pour m’exciter. Je me laisse faire. Maître regarde le porno et me sourit. 1 homme et une femme sucent un deuxième homme. Je lui fais remarquer que le porno était nul comme si un porno pouvait être réalisé par Victor Hugo. Maître regarde alors la femme, aux cheveux bouclés et blonds. Il l’observe dans les moindres détails, bien qu’elle nous tourne le dos. Il affirme que ce n’est pas une femme mais un travesti. Je lui soutiens que c’est une femme puisque j’ai l’avantage de l’avoir vue de profil. Vexé et pourtant sûr de ce qu’il avance, je vous transcris le dialogue laconique mais qui me vaut ma punition :
Maître : ce n’est pas un homme ? Tu es certaine ?
Moi : oui, c’est une femme
Maître : ok, tu t’avances et tu vérifies que ce soit une femme. C’est un ordre.
Moi sur un air abusé : mais non !
Maître : si ! tu y vas. C’est un ordre.
J’y suis allée. Je ne voyais pas bien si c’était un homme ou une femme mais le doute était permis . Je ne pouvais rien affirmer.
Nous retournons avec le charmant vendeur et Maître lui demande si c’est bien une femme dans le cinéma. Le vendeur fait signe de baisser la voix car la femme arrive… en homme. Heureusement que Maître ne fait pas de paris.
Nous prenons congés pour rentrer et essayer ma laisse et mon collier.
Quelques jours plus tard, Maître m’envoie un message pour m’annoncer que je suis punie. Très étonnée, je suis certaine d’avoir tout fait correctement. Maître me punit pour désobéissance à cause du petit « non » que j’ai osé lui répondre. La désobéissance est le pire du pire dans la sanction pour lui. Il m’explique ma faute et m’écrit que je ferais ma punition au sex-shop.
Nous retournons au sex-shop, toujours habillée selon de dress code établi. Je rajoute le collier de soumission et Maître m’attache ma laisse.
Il m’emmène directement dans la salle de projection où j’ai fautée, juste devant l’écran et me dit : tu trouves que le porno est nul ? Ok. C’est toi qui va faire le porno. tu vas tous nous exciter. Je n’ai pas envie. Les hommes sont vieux, moches. Seul leur air pervers pourrait me plaire.
Maître s’assoit et m’ordonne de commencer. Je ne sais pas vraiment quoi faire. Je ne bouge pas. Je veux juste sortir. Sauf que trahir une punition n’est pas vraiment malin. Je reste debout, j’attends, je gêne les pervers qui ne peuvent plus voir le film nul.
Maître se relève et commence à me déshabiller tout en m’embrassant. Il m’excite avec ses mains, sa bouche. Je n’ai pas envie de faire plaisir à ces hommes moches. Je me laisse pourtant faire. L’envie monte tellement Maître me stimule. Je commence à avoir envie de sexe. Les hommes me regardent, leur sexe entre les mains. Le spectacle que je donne plaît beaucoup. Maître baisse son pantalon et s’assoit : suce moi et branle toi ton clitoris en même temps. J’exécute l’ordre. Tout le monde me regarde sucer Maître. J’y trouve un certain plaisir. Maître me demande de me mettre debout et de me branler ma chatte en me caressant les seins. Je le fais sous le regard pervers des administrateurs. L’excitation monte. J’aime bien ma punition. J’ai une grosse envie de baiser. Je vois les hommes se masturber pour moi. J’adore.
Maître se lève, me penche sur un dossier, m’écarte les cuisses pour me pénétrer. Du plaisir d’être prise comme une salope avec ces hommes qui se branlent. Maître me tape les fesses, met sa bite dans mon cul et alterne avec mon vagin. Mon public devient fou. Ils s’avancent au fur et à mesure vers moi. Ils peuvent presque me toucher. J’ai envie d’être leur chienne tellement c’est bon. Ils ont envie de moi, j’aime cette sensation. Maître retire son sexe et dit tout haut : les hommes qui veulent lécher sa chatte, y mettre un doigt peuvent le faire pendant 2 mn chacun.
Hésitant, personne ne vient. Maître va en chercher un et le ramène. Il est moche. Maître lui intime l’ordre de lécher ma chatte trempée. Il commence à avoir le goût de ma chatte. Il me mange. Il a vraiment faim le cochon. Je suis contente de lui apporter ce plaisir. Le temps est écoulé. Les volontaires sont plus nombreux. Chaque homme m’a léché et doigté pendant 2 mn chacun. Durant une vingtaine de minutes, j’ai eu une dizaine de langues sur mon sexe. Un record battu. J’ai pris beaucoup de plaisir dans cette expérience imposée par Maître. Je n’ai pas jouis mais j’ai aimé être une chienne à disposition. J’aime être punie.
Fin