Mon compagnon et moi nous nous sommes retrouvés ce lundi, ça faisait une semaine qu’on ne s’était pas vu, autant vous dire que j’avais une folle envie de faire l’amour avec lui et lui aussi. Nous nous sommes retrouvés à la sortie de son travail. Pour une fois j’avais pris ma voiture. Je m’étais habillée sexy : un petit haut noir décolleté, une petite jupe courte noire avec des bas noirs sans rien en-dessous. Mon compagnon m’a trouvé magnifique.
Nous avions décidé de nous promener dans un petit bois. Je me suis garé sur le parking. Mon compagnon a commencé à glisser sa main sous ma jupe pour vérifier que je n’avais pas mis de sous-vêtements. Il a eu un sourire satisfait. Il a retiré sa main et voulu dire « bonjour » à mes seins, il en sorti un et commença à l’embrasser et à mordiller mon téton. Il me fit gémir, il s’arrêta et je lui ai réclamé qu’il dise aussi bonjour à mon sein droit. Il ne faut pas qu’il y ait de jaloux, il ne se fit pas prier. Il commença par le sortir lui aussi, il commença par passer sa langue dessus, il l’embrassa goulument et il commença par entrouvrir la bouche pour mordiller mon téton. Il le fit, c’était très excitant. Il pouvait y avoir du monde autour, je n’en avais rien à faire. Je profitais de se moment, l’excitation montait en moi. Je sentais mon bas ventre qui commençait à avoir des petits picotements. J’étais très excitée et j’aimais ce que mon compagnon faisait. Il sentait mon désir monter. Il arrêta de s’occuper des mes seins et glissa une fois de plus sa main pour ma jupe. Il vit que mon sexe était déjà mouillé, il lécha son doigt et le mis dans mon vagin. Il aime sentir mon humidité sous ses mains. Il fit des vas et viens, mon excitation était montée d’un cran. Il me voulait que je jouisse tout de suite et dans la voiture. Je lui ai dit que je voulais le sucer, il libéra son sexe bien tendu que je me suis mise directement à sucer. Il était très dur et mon compagnon aimait ce que je lui faisais. Je faisais aussi monter le désir en lui. Il ne voulait pas encore éjaculer et il me dit :
- On va se promener ?
Il sait que je n’aime pas quand il fait ça. Mais je savais que nous n’avions pas fini pour aujourd’hui. Je me redressai et il rangea tant bien que mal son sexe encore tout raide.
Nous nous sommes promenés dans ce petit bois qui était bien calme et presque désert. Je pouvais m’imaginer me faisant prendre par mon compagnon dans ce bois. Sur un chemin, il y eu des balustrades en bois. J’avais envie de lui et je lui fis comprendre, je me suis mise face à la balustrade dos à lui en relevant ma jupe. Il a tout de suite commencé à me caresser. Il caressa ma chatte humide, il me mit des doigts, il titillait mon clitoris, il sorti mes seins de son autre main et pinça les tétons, une fois le sein droit et une fois le sein gauche. J’avais envie de sentir son sexe en moi. Je lui ai dit :
- Je suis ta chienne. Prends-moi ! J’ai trop envi de sentir ta grosse bite dans ma chatte.
Il me répondit :
- Attends encore un peu, sois patiente. Tu vas l’avoir ma bite ma chienne.
J’aimais qu’il me traite de chienne, que je sois sa soumise et qu’il fasse tout ce qu’il veut de moi et de mon corps. Il continua à me caresser et à me doigter de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je gémissais sous ses doigts. . Il me demanda de sortir mes seins de mon haut. Je le fis tout en caressant le sexe, il me pinçait les tétons, je gémissais encore plus. A un moment il me dit :
- Nous avons un voyeur derrière toi.
Je me suis retournée et j’ai vu qu’un homme d’un certain âge nous regardait. Ça ne me dérangeait pas bien au contraire, ça m’a encore plus excité. Je redemandai à mon maître de me prendre, je voulais sentir sa grosse bite dans ma chatte. Il accepta avec plaisir. Je me cambrais un peu plus et il commença à me pénétrer. Il me donnait de grands coups de reins. Je gémissais. Je mouillais énormément en sachant que le voyeur était là à nous regarder. Ça me faisait bizarre de me regarder me faire prendre mais c’était aussi très agréable de savoir qu’on excitait un autre homme. D’un coup mon compagnon se retira pour me sodomiser. L’homme qui voyait tout a dû beaucoup aimer car il est resté encore à nous regarder.
Puis mon maître m’a demandé de me mettre face à lui. J’ai vu l’homme qui me regardait depuis le début. Mon maître continua à me titiller le clitoris et à me mettre des doigts. Il sait que j’aime ça et que ça me fait gémir. Il continua et à un moment je lui dis :
- Il y a deux autres personnes, un cycliste et un autre homme.
Le cyclisme a passé son chemin, le deuxième aussi mais il est vite revenu voir nos ébats. Mes seins étaient à l’air. Ils avaient droit de regarder ce spectacle. C’était très excitant. Un autre homme est arrivé, encore un autre puis un dernier. Ils étaient là tous les cinq à me regarder prendre du plaisir avec mon maître. J’étais leur chienne à tous. J’avais avoir que mon maître m’exhiber pour ces hommes. Il était fier de faire ça et moi j’étais heureuse de leur procurer du plaisir. Je suis sûre qu’ils auraient aimé me toucher, me caresser, me gouter, me pénétrer, me défoncer le cul et la chatte. Mais mon maître a tous les droits sur moi et il ne leur a pas proposer.
D’un coup il s’arrêta. Il me dit de me rhabiller. Je protestais en lui disant :
- Mais j’ai encore envie de toi.
- Plus tard. C’est bien que tu ais encore envie, quand on se retrouvera ce sera encore meilleur.
Je remettais mon haut comme il faut, je redescendais ma jupe. Les hommes avaient tous disparus comme s’ils n’avaient jamais été là.
Mon maitre me demanda si j’avais aimé l’exhibition. Je lui répondis que oui et que je recommencerais avec plaisir. La seule chose qui m’a étonné et qui m’a un peu déçu ce n’est qu’aucun des hommes ne s’est branlé devant nous. Aucun des cinq hommes n’a sorti sa bite.
On retourna à la voiture et lorsque j’étais dans la voiture et des cinq hommes est passé tout prêt pour regarder mes jambes une dernière fois.
Je garde un très bon souvenir de ma première exhibition et j’espère qu’il y en aura beaucoup d’autres. Je prendrai un malin plaisir à vous les raconter.
Fin