Le lycée


Mes années lycée ce sont mes plus belles années, c’est peut-être pour ça que j’y suis rentrée plus que 3 ans. C’est là où commencent les sorties, les groupes d’amis, les premières fois… Pour moi le lycée s’est vraiment bien passé par rapport à mes années de bts mais je ne vais pas vous parler de ça. Je vais m’intéresser à mon année de terminale.

Ayant redoublé ma première, je suis arrivée en terminal en étant majeure. Il y avait un prof de français que j’aimais bien, que j’avais eu en seconde et à ma deuxième année de première mais puisqu’en terminale nous n’avons plus de français, je ne l’aurais plus en cours. Mais heureusement que le lycée n’était pas très grand et je pouvais le croiser tous les jours.

Ce prof était assez jeune, il ne devait pas avoir la quarantaine. Il était grand, brun, il avait les yeux noisettes et un regard étincelant et doux à la fois. Ce professeur me faisait beaucoup d’effets. Il m’ait arrivé de faire des rêves érotiques de lui.

On se retrouvait dans une salle de classe tous les deux un soir au lycée. J’avais prétexté un problème dans le choix de mon orientation et il m’avait proposé ce rendez-vous après les cours pour en parler. Me retrouver seule avec lui me faisait beaucoup d’effets. Il me regardait avec ses yeux doux et me souriait.

– Alors, de quoi voulais tu me parler par rapport à ton orientation ?

Qu’est-ce que je pouvais bien lui répondre ? Je lui ai juste dit ça pour me retrouver seule avec lui.

– J’ai 18 ans vous savez.

– Oui, et ?

Je me suis jetée à l’eau.

– Depuis que je vous au eu en prof en seconde, j’ai craqué sur vous. Votre physique me plaît, votre façon d’être me plaît. J’ai prétexté ce problème d’orientation pour me retrouver seule avec vous.

– Mais Marion, c’est bien ça votre prénom ?

– Oui.

– Tu sais bien que ces petites amourettes entre un prof et une élève n’aboutissent à rien et passent au bout d’un moment. C’est un fantasme que beaucoup de jeunes filles de ton âge ont.

– Justement les fantasmes dont faits pour être réalisés.

– Je suis marié Marion.

– Mais nous ne sommes que tous les deux ici.

Je me rapprochais de lui. Il semblait troublé. Je le regardait droit dans les yeux. Et là il se pencha vers moi et m’embrassa fougueusement. Je lui rendis son baiser.

– Tu me plais aussi Marion.

Il sorti les clés de sa poche et alla fermer la porte de la salle. Il revint vers moi.

– Ce que nous allons faire doit rester entre nous. Si ça venait à se savoir, je pourrais perdre mon travail, ma femme et avoir des problèmes avec la justice.

– Je ne dirai rien, je vous le promet.

Il m’embrassa de nouveau, ses mains parcouraient mon corps. Ce jour-là j’avais mis une jupe. Je sentis une de ses mains remonter le long de ma cuisse jusqu’à mon entrejambe. Il m’embrassait dans le cou tout en caressant mon sexe. Je sentais que je devenais de plus en plus mouillée. Je passais ma main au niveau de son sexe au dessus de son pantalon. Il inséra un doigt dans ma chatte sans aucune difficulté vu comme je mouillais. Je continuais à caresser son sexe au dessus de son pantalon. Il était dur. Il inséra un deuxième doigt. Il faisait des va et viens avec. Je gémissais de plaisir.

– Tu aimes ça ma petite chienne ?

J’acquiesça. Il continua.

– j’ai envie de te sucer.

– Vas y Marion. Enlève moi mon pantalon et mon boxer. Je suis tout à toi.

Je m’exécuta, je lui déboutonna son pantalon. Pendant ce temps, il avait enlevé ses chaussures. Je descendis son pantalon jusqu’à ses pieds, je lui enleva ses chaussettes. Ensuite je libéra son sexe de son boxer. Il était tout tendu et tout dur. Je le pris dans ses mains et j’ai commencé par le branler. Il me laissait faire. J’ai léché son gland puis tout son sexe. Je l’ai pris en bouche et je l’ai sucé comme je sais si bien faire (c’est ce qu’on me dit). Je sentais le plaisir monter en lui. Il ne voulait pas finir dans ma bouche. Je m’en souviens c’était en hiver et il faisait frois dehors.

Il déplia son manteau, le mi par terre et fit pareil avec le mien.

– Mets toi ici, tu seras bien.

Je m’allongea sur ce matelas de fortune .

– Déshabille moi.

– Avec plaisir Marion !

Il m’enleva ma jupe et mon string, il arracha ma chemise et enleva son soutien-gorge. Il commença à caresser mes seins, à les malaxer. Il en pris un en bouche pendant qu’il pinçait le téton de l’autre sein. Il me mordilla le téton. Ca m’excitait vraiment beaucoup. Je sentais l’excitation monter.

– Prends l’autre sein dans ta bouche.

– Tu aimes ça Marion ?

– Oui j’aime ça, continue !

Il continua avec le deuxième sein. Puis il fit glisser sa bouche le long de mon corps, sur mon ventre jusqu’à mon entre-jambe et là il me fit un cunnilingus divin, tellement que j’ai été fontaine. Il a été surpris.

– Je suis désolée, je n’ai pas pensé à te dire que ça m’arrivait parfois.

– Ne t’en fais pas, j’adore ça et j’adore boire ton liquide.

– Prends moi, je veux te sentir en moi.

Il m’approcha de lui en le prenant par les hanches et il me pénétra. Je sentais sa grosse queue en moi. Il leva mes jambes ce qui me faisais le sentir encore plus profond. Il senti que le n’allais pas tarder à jouir mais il voulait que ça dure plus longtemps. Il se retira et me demanda :

– Je peux te sodomiser ? Ma femme refuse toujours.

– Oui tu peux, j’adore ça. Mais arrête de parler de ta femme. C’est notre moment à nous.

– Oui, excuse moi.

Je me suis mise à quatre pattes afin qu’il puisse me sodomiser plus facilement.

Il enfonça son sexe dans mon cul bien serré. je le sentais bien. Je me suis doigtée en même temps qu’il me sodomisait. je sentais que j’allais bientôt jouir et que lui aussi. N’ayant pas mis de capote car il n’en avait pas et moi non plus, Il se retira de moi avant de jouir et il éjacula sur mes fesses.

– Je suis désolé, je t’en ai mis partout.

– C’est pas grave. On va essuyer. J’ai des mouchoirs en papier dans mon sac.

– En tout cas merci Marion. C’était très bon.

– Merci à toi aussi, j’ai passé un excellent moment et j’adore ta bite et ce que tu me fais avec.

Je lui fis un petit clin d’œil. Il rougissa.

Il prit les mouchoirs et m’essuya. On se rhabilla en silence.

– Tu pense qu’on pourrait remettre ça et se voir régulièrement ? me demanda t il.

– Oh oui, avec plaisir mais peut être ailleurs qu’au lycée.

– Oui, bien évidemment.

– Et ta femme ?

– Elle n’en saura rien.

– Tu sais, je suis très gourmande. Après t’être occupé de moi, tu n’auras plus d’énergie pour elle.

– Pour ce qu’on fait ensemble… Ce n’est pas un problème.

– Tant mieux. Alors au revoir et à bientôt.

– Oui, bonne soirée et bonne nuit Marion.

il rouvrit la porte, je pris mon sac et je sortis. J’étais heureuse, je venais de réaliser mon fantasme . Romain était un très bon amant et nous allons vivre des très bons moments de plaisir ensemble. Je suis aux anges !

Fin