Le BDSM et la soumission


Mon compagnon et moi, nous avons commencé le BDSM assez soft. J’étais parfois attachée, de temps en temps il me donnait la fessée mais assez doucement et il faisait de même avec la cravache. Il aimait (et il aime encore) beaucoup me mordiller et me pincer les tétons. Cette dernière pratique m’excite beaucoup. Lorsqu’il le fait l’excitation monte très rapidement. Je la sent ma parcourir tout le corps jusqu’à me faire mouiller et avoir un petit mouvement des hanches. Il sait que j’aime ça et il adore m’exciter comme ça. Je lui demande souvent de me le faire. Je lui donne mes seins dans sa bouche lorsque je suis au-dessus de lui. Il me pénètre en même temps, je fais des va et viens avec mon bassin et tout ça me fait mouiller énormément, c’est vraiment l’extase.

Mesdames, n’ayez pas peur de tester cette pratique, une grosse majorité des femmes qui l’ont essayé l’on adopté.

Tout ça pour dire que nos débuts dans le BDSM étaient parfaits mais il manquait quelque chose.

Je n’obéis pas forcément à ce que me demande mon compagnon, alors qu’en tant que soumise je dois le faire. Cela me vaut d’ailleurs plusieurs punitions.

Il y a une demande de mon compagnon que j’accepte avec plaisir. Il me demande qu’il puisse avoir un accès constant à mon sexe lorsqu’on se voit où que l’on soit, dans le bus, dans un café, au cinéma, au restaurant… Je m’arrange pour toujours pouvoir le faire. Je met une jupe ou une robe avec ou sans bas, de préférence assez courte car je sais que mon compagnon adore mes jambes et surtout sans aucun sous-vêtements dessous… Il peut glisser sa main en dessous quand il veut. Et ce qui est très pratique aussi le fait d’être en jupe, c’est que lorsqu’il veut me prendre, il n’a qu’à me faire me pencher en avant, soulever ma jupe et me pénètre directement. J’aime mettre mon sexe à sa disposition, le fait que mon compagnon y ait toujours accès à mon sexe confirme que je suis à lui et que je suis sa soumise.

Un jour on a eu pour projet d’aller dans un sex-shop, d’aller dans la salle de cinéma et s’il y avait d’autres personnes, mon compagnon m’aurait exhibée pour que les autres hommes me désirent et se branlent en me regardant. Rien que d’y penser ça m’excite. L’exhibition m’a toujours tentée. Mais ce jour là il n’y avait que le vendeur et nous. A deux reprises mon compagnon a voulu lever ma jupe pour que le vendeur puisse se rincer l’œil mais je l’ai empêché de le faire. Il n’était pas content. Je ne lui avais pas obéi et j’allais être punie. Je vous raconte comment.

Mon compagnon avait prévu de venir me voir un jeudi après-midi. Il m’a demandé de l’attendre habillée en soumise, de faire un lavement anal et de préparer tout ce qu’il fallait sur le lit : le plug anal, le fouet, la cravache, la chaîne, le collier, les menottes des pieds et des mains. Je préparais tout ça. Je suis allée faire mon lavement et me doucher. J’ai mis une petite rob très sexy et très courte en simili cuir sans rien en dessous et j’ai attendu qu’il arrive. J’appréhendais un peu car il m’a dit que j’allais être fortement punie…

Il est arrivé, il m’a embrassée, il m’a dit qu’il aimait beaucoup comme j’étais habillée et il a tout de suite vérifier que je ne portais rien en dessous.

Il n’était pas pressé de me punir. Il voulait prendre son temps. Il a voulu qu’on commence à faire l’amour tendrement pour se retrouver. On s’embrassait, on se caressait, il me pénétra tendrement. Tout était douceur. Mais ce n’est pas de ça dont je veux vous parler.

Après ce moment de tendresse, mon compagnon me mit le collier. Il me demanda de me lever et de me mettre face à la porte. Là, il leva ma robe, me pénétra la chatte très fortement, en me disant :

– Ton sexe est à moi. Je te prend comme ça car tu m’appartiens.

Il me donnait de grands coups de reins. Ensuite il passa à mon cul.

– Ton cul aussi est à moi.

– Oui, tout mon corps est à toi. Je t’appartient. Fais ce que tu veux de mon corps.

– J’y compte bien !

J’ai aimé tout ce qu’il me fit. Il me prenait bien au fond et je sentais bien sa bite en moi. Ca me faisait beaucoup mouiller. Il faisait ça pour me punir mais j’aimais vraiment ce qu’il me faisait. J’avais envie qu’il continue mais il décida de me mettre dur le lit. Là il me mit les menottes aux poignets et aux chevilles. Ne sachant pas ce qu’il m’attendait l’excitation monta. Il commença à me prendre par devant. il fit ça fortement et sans attendre que je mouille. Il m’a pris à sec et j’aimais ça. Je n’avais pas mon mot à dire et être soumise comme ça excite énormément. : ne pas savoir ce qu’il m’attend comme punitions, ne pas savoir si ce sera long ou pas, ne pas savoir s’il me fera mal ou pas, toute cet appréhension qui se mêle à l’excitation d’être sa soumise…

Il prit la chaîne qui était attachée à mon cou. Il tira dessus pour me faire descendre du lit et me mettre à quatre pattes par terre. A ce moment là je me sentais encore plus soumise, comme une chienne. je ne savais pas ce qu’il m’attendait. Il prit la chaîne et la fit glisser entre les lèvres de mon sexe. Le contact de la chaîne froide contre et dans ma chatte était surprenant. Il me la laissa comme ça et prit le fouet. Il commença à le faire glisser sur mon corps doucement. Le fouet caressait mon corps. Tu sais que ton compagnon va te fouetter avec mais tu ne sais pas quand. Les caresses du fouet me font du bien. Et d’un coup ce même fouet commence à te fouetter et te faire mal. La douleur fait monter l’excitation. Chaque coup de fouet me donne du plaisir. J’aime chaque coup de fouet. Je sens que mon compagnon aime me faire mal et en même temp me faire du bien comme ça.

– Tu es ma soumise et j’ai le droit de te fouetter quand je veux et le temps que je veux.

– Oui on maître.

Il continua à me fouetter quelques secondes.

Après ça, il m’attacha les pieds avec la chaîne que j’avais autour du coup. A présent, je ne pouvais plus changer de de position et j’étais obligée de rester à quatre pattes, soumise. Je ne sais pas ce qui m’attendait cette fois-ci. Je pensais avoir eu assez mal avec les coups de fouet mais je me trompais.

Mon compagnon se mit derrière moi. Il a pénétré on cul a sec, ca a piqué. J’aimais qu’il me prenne le cul, j’étais très excitée mais là il me donna un énorme coup dans le cul qui m’a fait très mal. Je lui ai dit.

– Ca me fait très mal.

– C’est fait exprès. Tu dois être punie.

Et il continua à me donner de grands coups. Ca me faisait mal. Je criais à chacun de ses coups mais pas de plaisir mais de douleur. Je sentais sa bite bien au fond de moi, mais trop au fond. J’avais mal mais mon amour du BDSM prenait le dessus et j’ai joui de plaisir. Le sol était trempé.

Là mon compagnon était satisfait, il m’avait fait mouiller et il était heureux de m’avoir infligé ces douleurs pour me punir. Il m’aida à rejoindre le lit. Il me détacha, Il m’embrassa tendrement. La punition était finie.

Au fond de moi, j’espérais faire de nouveau une bêtise pour être punie une fois de plus.

Fin