Comme tous les matins je prenais mon poste de travail en tant que secrétaire médicale à la clinique du Pavillon à Lyon à 8h30. Je m’occupais de gérer les rendez-vous, des programmations des opérations pour les docteurs plasticiens.
Ce matin là, Dr Victor MICHEL me convoqua dans son bureau dès la première heure.
Je frappa à la porte de son bureau :
– Entrez !
– Bonjour Docteur MICHEL. Vous avez demandé à me voir ?
– Bonjour Marion. Vous avez fait de grosses erreurs dans mon planning du mercredi 15 mai dans deux semaines. Vous m’avez mis des rendez-vous l’après-midi alors que je vous avait dit que je ne voulais avoir mon après-midi de libre pour passer du temps avec mon fils le jour de son anniversaire. Enfin bref, vous devez rattraper votre erreur et vous faire pardonner.
– Très bien Docteur. Je vais appeler les patients et repoussez leur rendez-vous.
– Lorsque vous aurez fini, repassez dans mon bureau.
– D’accord. A toute à l’heure.
Je retournais au secrétariat tout en me demandant pourquoi il voulait que je repasse à son bureau. Je rappelais un par un tous les patients pour décaler leurs rendez-vous.
Quand j’ai finit, je suis allée voir le docteur Michel dans son bureau.
– Fermez la porte à clé.
Je le fis.
– J’ai appelé tous les patients et j’ai reporté leurs rendez-vous.
– Très bien.
– Pourquoi vouliez-vous que je repasse à votre bureau ?
– vous avez fait une bêtise et je dois vous punir pour ça.
– Comment ça ?
– Approchez vous ! Mettez vous à genoux devant moi !
Il était si autoritaire que j’ai fait ce qu’il me demandait. Et là il déboutonna son pantalon, le laissa glisser à ses pieds et baissa son boxer. Je découvris son pénis en érection. Il me prit la tête et me mit son sexe dans ma bouche.
– Suce ma grosse bite grosse cochonne !
Il faisait des va et viens avec son bassin tout en tenant ma tête. J’avais son sexe de plus en plus loin dans la gorge. A un moment il s’arrêta. Il me releva, me retourna et me leva la jupe de mon tailleur. Son étreinte était si forte que je n’osai rien dire et je me laissai faire. Il baissa mon string et commença à me mordre les fesses. Là je poussai quelques petits cris. Il plaqua sa main sur ma bouche tout en m’ordonnant de me taire.
Il me fit me pencher sur son bureau, me prit par les hanches et enfonça sa bite dans la chatte. J’avais envie de crier. Il m’avait pénétrée comme ça alors que j’étais encore très sèche, il m’avait fait mal. Il faisait de grands va et viens. Je sentais son sexe de plus en plus loin.
– Tu aimes ça cochonne ?
– Vous me faites mal docteur.
– On va changer alors.
Il se retira de mon sexe et pénétra mon anus d’un seul coup. Là je n’ai pas pu retenir un cri. Ca me faisait mal mais au bout de quelques va et viens mon anus était bien dilaté et j’aimais ce qu’il me faisait.
– Continuez docteur.
– Tu aimes ça ?
– Oh oui docteur !
Il donna de grands coups de reins de plus en plus vote et de plus en plus fort.
Il allait bientôt jouir. Il se retourna, me remit de nouveau à genoux devant lui. Il éjacula sur mon visage tout en poussant un râle de bonheur!;
– Voilà, tu as été punie pour la bêtise que tu as faite. Tu ne recommenceras plus ?
– Vu ce que vous m’avez fait docteur, j’aimerai être punie plus souvent.
– Nous ne sommes pas obligé d’attendre que tu fasses d’autres erreurs.
Il me fit un clin d’œil.
– Essuie toi et retourne travailler.
Je risque de te convoquer souvent dans mon bureau, Marion.
Fin