Nous allons au sex shop. Tu es habillée très sexy pour faire ressortir ta poitrine et très court pour exciter les hommes.
Tu déambules dans la boutique en regardant les jouets, les tenues.
Le vendeur te mate discrètement jusqu’à ce que je m’en aperçoive. Je te guide jusqu’à lui pour parler. Il salive. Il a très envie de toi. Je le lis dans ses yeux écarquillés.
Je demande au vendeur si tu l’excites. Il balbutie pour répondre oui.
Je me tourne vers toi et je t’ordonne :
– Montre lui un sein.
Tu sors un de tes seins. Je me tourne vers le vendeur et je lui dis de venir toucher ta poitrine et de mordiller ton téton.
Il s’approche de toi, hésitant.
Je l’incite à le faire. Tu te laisses faire, indolente. Tu sais que ta sentence serait terrible si tu n’obéis pas.
Le vendeur dépose sa main sur ton sein et prend plaisir.
Je lui suggère:
– Maintenant passe ta langue sur son téton et suce le.
Il le fait longuement avant que j’ajoute :
– Mordille le.
L’envie est en toi, tu as envie de plus. Tu n’oses pas me l’avouer. Mais je le lis sur ton visage. Ton sexe se gonfle de plaisir. Tu as du mal à te retenir. Tu espères…
Alors je t’ordonne de soulever ta robe pour qu’il puisse voir ton sexe déjà humide. Tu es hésitante mais tu obéis, l’envie est en toi.
Il ne se fait pas prier pour y glisser in doigt. Il titille ton clitoris et fait des vas et viens dans ton sexe avec ses doigts. Ton plaisir redouble. Tu ne tiens plus. Le vendeur étale ta mouille sur ton sexe. Il s’agenouille devant toi de lui-même pendant que je te demande de lui faciliter le passage en écartant un peu les cuisses.
Il écarte tes lèvres de ton sexe pour découvrir ton antre dégoulinante qui ne demande désormais qu’à exploser. Son majeur pénètre enfon ton vagin pendant qu’il fait des allers retours sur ton clitoris.
Je te regarde fixement dans les yeux. Tu ne peux plus dissimuler que tu aimes cette ambiance de débauche, tu es la proie de ton maître qui laisse faire et d’un homme qui te plaît, que tu as envie de prendre en bouche.
Le vendeur est excité à mort. Son pantalon est très dur. Je caresse la raie de ton cul et je fais tourner mon doigt autour de ton anus. Je l’enfonce parfois. Dans ta tête, tu veux être une vraie salope et voir couler nos jus dans ton cul et bien au fond encore.
Soudain, je crie « Stop ! ». Le jeu s’arrête ?
je te regarde dans les yeux fixement, sévèrement. Tu es bien plus que ma soumise. Tu es ma chienne, ma salope, mon esclave.
Je te guide jusqu’au con cinéma et t’installe au milieu de tous ces hommes qui se branlent en regardant un porno de piètre qualité.
Parmi eux, un couple dont la femme n’est pas à l’aise. Tu te demandes ce qu’il va se passer. Je ne dis rien. Je ne fais rien. J’ai l’air strict mais tu devines en moi mes seules envies d’avoir tous les vices les moins moraux. Tu sais à présent que tu vas prendre très cher. Tu ne sais pas encore comment. Il y a trop de possibilités.
Je me mets à genoux devant toi pour branler ton sexe mouillé, le sexe de la salope que tu es devenue en quelques secondes et celle que je veux que tu sois. A la fois gênée et excitée, seuls mes ordres te guident.
Les hommes ont délaissé le porno pour s’attrouper autour de toi. Ils sont vieux, ils sont moches. Ils t’écœurent ces vieux pervers sales sur eux et dans leurs pensées nauséabondes. Le couple reste seul. J’ai mis volontairement le vendeur en retrait. C’est pourtant lui que tu veux et je t’ai mis ces vieux porcs qui ne pensent qu’à te salir.
Je me mets debout et je m’éloigne de toi. Tu es inquiètes de mon abandon. Tu restes vautrée, les cuisses écartées, ton sexe bien en vue. Je reviens avec le couple et cette femme qui veut juste partir. Je ne dis rien, je ne dégage aucune intention.
Je place la femme face à toi, ses fesses appuyées su l’assise des fauteuils de la rangée de devant. Je lui dis de ne pas parler, de se laisser faire, de me faire confiance. Elle me résiste mais je ne lui laisse pas le choix. Je lui dis qu’elle va vivre une expérience hors du commun. Je te demande de te redresser pour lui embrasser son nombril. Tu fais tourner ta langue longuement dans son nombril. Puis, tu oses mettre tes mains sur ses cuisses. Tu la caresses et remontes à l’intérieur de ses cuisses doucement, jusqu’à frôler son sexe. Elle est sous emprise. Tu enlèves sa mini-jupe. Elle te repousse mais elle a tellement envie. Tu embrasses et caresses son entre-jambe longuement. Les vieux se branlent devant vous en rond. Moi je te laisse faire. Tu enfonces ta langue au plus profond de sa chatte trempée. Tu bois son jus et en fait venir d’autres en la branlant très vite. Tu aimes cette sensation. Tu aimes ce que tu es devenue. Vous vous allongez sur le sol pour vous baiser mutuellement. C’est charnel. C’est hard. Je te laisse tellement faire que vous m’oubliez. Vos sexes se frottent, plus rien n’a d’importance. Je vous laisse jouir. Vous avez encire envie de sexe pourtant. Vous êtes prêtes à tout. Il vous en faut plus. Vous voulez être des salopes qui veulent se faire défoncer et vous ne voulez être que ça.
Les vieux qui ne se tiennent plus avancent vers vous pour tenter leur chance? Je ne dis rien. Tu as trop envie de toute manière. Tu veux de la bite, être prise de partout et sans retenue, avoir du sperme dans chacun de tes trous et dans la gorge. C’est ton moment à toi. Ton maitre te laisse faire. Tu prends une bite dans chaque main pour les branler et les sucer. Les deux bites dans ta bouche. Tu aimes être cette salope de chienne. D’autres hommes essaient de te pénétrer. Tu les laisses faire. Tu as juste envie que ça tape fort dans chacun de tes trous et qu’ils soient bien remplis par le sperme de tous ces hommes mélangés en toi. Ils te pénètrent par ton cul, ton vagin, la bouche et se relaient entre eux. Ils vous bourrent toutes les deux jusqu’à ne plus pouvoir se retenir. Chacun d’entre eux éjacule sur vous, dans vous. Vous avez du sperme dans les cheveux, sur le visage, sur votre corps. Vos trous sont bien remplis.
C’est bon d’être une salope. Vous connaissez enfon votre condition.
Le vendeur et moi sommes satisfaits. On garde le meilleur pour la fin… Après vous être lavées, vous savez que nous allons nous vider… Votre journée de chienne n’est pas terminée… Que va-t-il encore de passer ?
Fin