Hier, mon maître m’a annoncé que nous irions au sauna dimanche. Cet ordre suscite à la fois l’inquiétude puisqu’ il a renoncé au libertinage et l’excitation de savoir quelles sont ses vraies intentions. Je m’en remets à sa volonté. 

Veut-il approcher une autre femme ? Je m’interroge tout de même. Je me réconforte en me disant qu’il adore l’eau d’autant qu’il en a été privé des années. Mes doutes s’estompent dans la journée. Je sais qu’il n’y a que moi dans sa vie, qu’il m’aime très simplement. Je suis tout pour lui et ne s’en cache pas. Je sais par ailleurs qu’il est bienveillant sous ses airs durs et incompréhensibles. 

Mon maître a ceci de particulier, d’être là où on ne l’attend pas. L’idée commence à m’exciter car si j’ignore ce qu’il va me faire vivre, j’ai conscience que ça sera une expérience hors norme dont lui seul a le secret. Je commence à m’exciter car c’est le mieux à faire. 

Le compte à rebours est commencé et je dois préparer cet instant scrupuleusement pour qu’il soit satisfait. Je me demande comment je vais gérer ma pudeur, puisqu’ aller dans un jaccuzis habillée est tout de même saugrenu. Encore une fois, mon maître trouvera à son habitude la solution comme il sait le faire. 

Les jours ont passé et nous allons au jaccuzis. Habillée en mini-jupe, avec un décolleté plongeant et sans sous-vêtements, pour répondre aux exigences de mon maître, celui-ci prend un malin plaisir à me faire traverser la ville. Je sens le regard des gens. Je suis gênée et excitée. Mon maître a cette étrange faculté de me donner la main pour me revendiquer, m’aimer, être fier de moi et me rassurer. Je me sens belle et importante. Nous arrivons devant le sauna. L’endroit est austère, réputé dans la ville pour avoir une clientèle homo malgré sa partie mixte. 

Il fait sombre. Après avoir payé, mon maître me dirige vers le bar où nous nous asseyons en hauteur. Il m’a placé devant le bar et lui se tient à côté de moi. 

Je peux voir des hommes dans leur serviette, quelques couples timides et des femmes seules. Tous me reluquent plus ou moins discrètement, espèrent… 

Mon maître ne fait mine de rien, ne dégage aucune émotion, ne prête aucun intérêt aux clients, les ignore. Il est impassible avec son attitude froide légendaire. Nous échangeons quelques banalités entre nous. Je sais juste que je fais son bonheur comme tout le temps. Il ne me le dit pas mais je le sais. Nous buvons tranquillement sans nouer de dialogue avec les clients ou même le serveur. Mon maître est une personnalité des plus étranges. J’ignore comment et pourquoi je l’ai choisi. Il faut dire que j’ai l’habitude d’être attirée par des hommes faibles ou sans aucune envergure. Lui a une très forte personnalité, un charisme, une force qu’il me transmets. Il ne convainc jamais les gens, ne les apprivoise jamais, ne cherche jamais à plaire, ne les attire jamais et maintient une distance. Il est comme ça. Il s’exprime seulement lorsqu’il en a envie. Je ne m’y ferai jamais. Je sais qu’à son travail, ses collègues se mettent à plusieurs pour l’affronter, sans pour autant avoir de résultats. Il est trop droit, trop exigeant. C’est la facette la plus compliquée à apprécier chez lui. Il en devient détestable. 

Je regarde la salle, je croise des regards. Certains m’excitent, d’autres sont malsains. Et il vaudrait mieux pour eux que mon maître ne s’en aperçoive pas. Encore que, je connais sa vigilance sans répit, sans faille. Je suis certaine qu’il le sait. Le temps passe, rien ne se passe. 

Soudain, mon maître fait enfin attention à notre environnement. Il échange quelques mots avec diverses personnes. Des banalités qui ne sont pourtant pas son fort. Puis se lève et me propose d’aller nous baigner.

Nous nous déshabillons tranquillement sous le regard de mon nouveau fan club. Je suis gênée, j’ai l’impression d’être un steak haché au milieu d’un hamburger. Mon maître n’y prête aucune intention. Puis nous nous dirigeons vers la douche, toujours avec mon fan club qui me suit désespérément. Le moment est venu de rentrer dans le jaccuzis et donc d’abandonner mon paréo. Je n’aime pas. Je le fais pour satisfaire mon maître. Je voudrais rentrer chez moi. Mon maître me tient la main pour ne pas que je tombe. Il m’accompagne dans une partie où il n’y a personne. Peu à peu, mon fan club rentre à son tour et nous encercle. Je peux voir leurs érections effrayantes. 

Mon maître continue de me donner la main pour me rassurer. Il s’assure que je vais bien. Il me sourit. Il veille sur moi. Lui n’a pas d’érection. Même ça, il le contrôle. Il m’embrasse avec tendresse tout en me caressant. Rien de sexuel. Il me prend dans ses bras pour me serrer contre lui. Des étreintes que j’aime et toujours longues.

Nous profitons de l’eau qui bouillonne. Mon maître est heureux. Il m’a moi et son grand plaisir me rappelle que je lui suis nécessaire dans sa vie. Je suis son complément, la condition sine qua none, son indispensable, son amour. Beaucoup de tendresse pour moi. Je l’embrasse autant que je peux et lui aussi. 

Nous sommes bien, j’en oublie mon fan club. Nous vivons un instant de pur bonheur, d’abandon réciproque pour l’autre. 

À genoux dans le jaccuzis, il se met entre mes jambes, dos au reste de mon fan club pour continuer à m’enlasser. Il prend son temps, il savoure sa soumise. Je regarde mon fan club qui l’envie. Il sont très excités. Certains se masturbent. Je les regarde par dessus son épaule. C’est agréable qu’autant d’hommes puissent avoir envie de moi. C’est aussi affolant. 

Je pense avoir compris que mon maître sait parfaitement tout ça. Il donne envie aux hommes d’être à sa place et se délecte de la situation. Le jeu a commencé… 

Effectivement, il s’assoit sur le banc du jaccuzis et me prend sur ses genoux, face à lui. Il me parle de tout, de rien, comme si nous étions seuls. Ce qu’il adore soit dit au passage. Mon maître m’aime et me revendique sans cesse. 

Ses caresses se font différentes, ses baisers aussi. Ses mains me caressent tout à la fois mes seins, la cambrure de mon dos. Il me mordille les tétons, dans le cou. Je sens son sexe dur contre le mien. Il m’excite de plus en plus. Nos deux sexes glissent l’un contre l’autre. Nous sommes en osmose. L’envie de l’autre est à son paroxysme. J’ai perdu mon contrôle au point d’en oublier mon fan club. Je suis devenue une chienne, sa chienne et quoique mon maître décide sera mon plaisir. Je m’abandonne à sa volonté. 

Les gestes de mon maître deviennent plus fermes. Il tire mes cheveux vers l’arrière pour m’obliger à incliner ma tête. Il la maintient. Je suis définitivement à lui. Je me laisse faire. Il me frotte mon clitoris en parallèle, je ne me sens plus. Je suis à lui pour toutes ses volontés. 

Je sens une présence derrière moi. Je devine que c’est mon fan club qui s’est rapproché. J’entends plusieurs clapotis d’eau qui m’intriguent. Je ne peux pas tourner la tête qui est toujours maintenue fermement en arrière. Je pense que c’est mon fan club qui se masturbe dans mon dos. Le bruit se rapproche. J’aime mon maître encore plus car faire autant d’effets à autant d’hommes m’excite, me met hors de moi, en trans. Je sens une main qui se glisse entre mes cuisses. J’ignore qui c’est. Mon maître passe la tête par dessus mon épaule et s’exclame avec autorité : « on ne touche pas ! ». C’est dommage, j’aimais cette main inconnue. Mon maître a ses raisons. Le propriétaire de la main malchanceuse se retire sans broncher. Immédiatement , un autre homme se colle derrière mon dos et passe ses mains pour toucher mon nombril, puis mes seins. Il m’embrasse dans le dos. Mon maître ne dit rien et le laisse faire. Cet inconnu prend de l’assurance et commence à me branler mon sexe pendant que mon maître continue à m’exciter de son côté. J’aime cette sensation. J’aimerais avoir leur deux bites dans ma bouche. Je n’ose l’avouer à mon maître. Par dessus tout, il m’est fidèle. Je ne veux pas le trahir mais j’ai envie que cet inconnu enfouisse son sexe au fond de ma chatte. Je me contente de ce jeu à 4 mains partout sur mon corps, mes seins, mon sexe. Ces mains qui me caressent, me pincent. Ces deux hommes qui me mordillent où bon leur semble. Je suis en sandwich avec cet inconnu derrière et mon maître devant. J’aime beaucoup. J’ai envie d’eux, qu’ils m’inondent ma chatte de leur sperme. Je ne peux plus cacher mes envies, j’émets des râles de plaisir, ma respiration devient plus rapide et s’accompagne de petits bruits de plaisir intenses. Je n’en peux plus. J’ai juste envie qu’ils me baisent sauvagement. 

Je branle mon maître pour bien l’exciter. Peut-être me laissera-t-il me faire baiser par cet homme qui a autant envie que moi de baiser ? J’ai aussi envie d’apporter du plaisir à cet étranger. Je délaisse le sexe de mon maître pour branler timidement mon prétendant. Je fais connaissance avec ses couilles, son sexe bien dur que je sens depuis tout à l’heure se frotter dans mon dos. J’adore. Mon maître ne dit rien. Je prends mes aises pour le branler. J’appréhende juste que mon maître mette fin à ce que nous faisons. Mon étranger virulent abandonne sa position pour venir se placer à côté de moi. Je peux enfin le voir et je suis à l’aise pour le branler. Pourvu que mon maître me laisse faire. J’ai besoin d’être une chienne assouvie. Cet homme cherche à m’embrasser. Je me laisse faire et je laisse rapprocher des baisers de ma bouche. Il colle ses lèvres contre les miennes, mon maître n’émet aucune opposition. Il sort sa langue pour m’embrasser. J’en ai envie mais je crains que mon maître nous interrompe. Je sors timidement ma langue pour la faire tournoyer avec la sienne. Mon maître laisse faire. Mon maître continue de faire aller ses mains sur mon corps, de l’embrasser comme si de rien n’était. J’aime ce moment de lâcher prise. Je veux qu’il continue. Mon étranger m’embrasse, glisse parfois sa main sur mon sexe. Le plaisir augmente toujours plus. J’en deviens incontrôlable. J’essaie de me raisonner car je ne veux pas décevoir mon maître. Je suis une chienne, une salope, oui. Mais je suis surtout l’amour, la chienne, la salope de mon maître et uniquement à lui et je veux que continue ainsi. 

Pourtant, mon maître me fait signe de me lever et de m’asseoir sur ses genoux pour faire face à mon inconnu. J’obéis et nos ébats continuent. C’est très intense. Mon maître ne peut pas bander plus fort. Un jeu à 4 mains s’ensuit avec des baisers de partout. Mon inconnu me masturbe, enfile ses doigts dans ma chatte. Mon maître me glisse un doigt dans mon cul. Les deux font des vas et vient incessants dans mon cul et dans ma chatte. J’embrasse fougueusement mon inconnu. Il se plaque contre moi et fait glisser son sexe contre le mien en simulant une pénétration. Mon maître fait de même entre mes fesses. Je sens que leurs sexes se touchent entre eux et s’agitent sur le mien. C’est intense. Je leur facilite les mouvements en écartant au maximum mes cuisses. J’aimerais qu’ils me pénètrent là, maintenant. Je me laisse faire, docile, indolente. Un autre homme se rapproche de nous. Il me touche sans scrupules. Mon maître ne le repousse pas. J’ai 3 hommes qui s’occupent de moi. Ça me fait peur mais j’aime ça. Je redoute mon maître trop strict. Je me contente d’apprécier cet effet de groupe intense. Je les branle tous un par un. Mon maître de dégage comme s’il voulait laisser sa place aux 2 inconnus. Il me met à genoux dans le bassin. Je suis en proie à ces hommes. Mon maître s’est assis à côté de nous et savoure le spectacle. Ils sont à la fois tendre et virulent comme mon maître peut l’être. Nos trois langues se chevauchent. On dirait un trio. J’aime les branler. J’aimerais que leurs sexes enfouissent le mien. Mon maître ne fait plus attention à moi. Je n’apprécie pas. Son regard est tourné vers un couple qui vient de rentrer et prend son temps pour attirer leur attention. Il est insistant. Il m’a toujours dit qu’il ne voulait pas d’autres femmes et ne s’est jamais intéressé à d’autres. Je ne veux pas qu’il s’intéresse à cette femme. Mon maître de lève pour les rejoindre et faire leur connaissance. Quant à moi, nos ébats continuent. Je reste à leur portée. Je peux sentir leur sexe essayer de me pénétrer mais je ne me laisse pas faire. Je veux l’autorisation de mon maître qui continue de parler avec ce couple. Il me regarde régulièrement pour s’assurer que tout va bien. Mon maître se relève avec le monsieur qui s’agenouille devant moi. Il est omnibulé par mes seins gonflés qu’il pétrit déjà très maladroitement. Mon maître me relève, me fait asseoir sur le bord du jaccuzis et m’écarte les cuisses. Mon sexe est bien ouvert. Plusieurs hommes se précipitent pour me lécher mon clitoris en ébullition. Je reçois des coups de langue partout, des pincements, des morsures. Je ne sais plus qui fait quoi. C’est la première fois que j’ai autant d’hommes qui s’occupent de moi. Mon maître est à l’écart. Je perçois son sexe dur. J’ai envie de sucer tous ces mecs pour leur donner envie. Je me mets à genoux dans le jaccuzis et avale une première bite. C’est bon toutes ces verges excitées. Je les veux toutes si mon maître me le permet. Je suce toutes les verges une par une, je les branle. Devant leur empressement, je mets 2 verges dans ma bouche. Je suis une vraie salope et j’aime cette sensation. Mon Maître discute avec la femme. Il ne paraît pas arriver à la convaincre de venir jusqu’à ce qu’elle accepte de le suivre. Il écarte tous les hommes au profit de cette femme et l’installe devant moi. Il prend ma tête, l’approche de son sexe et m’ordonne : bouffe lui la chatte jusqu’à ce qu’elle dégouline dans ta bouche. Je m’exécute. Mon maître a retenu que ça correspondait à mon fantasme. Les hommes, continuent à s’occuper de moi. Je fais mon maximum pour leur ouvrir mon sexe. Curieusement, mon maître empêche les hommes de s’approcher l’autre femme. Je continue mon cunnilingus en caressant chaque partie de la femme. Elle ne me plaît pas vraiment, mais j’ai envie de baise intense et débridée. Un homme se met derrière moi, me cambre. Mon maître n’intervient pas. J’ai envie de sentir son sexe en moi. J’adopte la position pour lui offrir le trou qu’il choisira. Il ne se fait pas attendre. Il me pénètre au plus profond de moi et commence à faire des vas et vient. C’est bon. L’effet est renforcé par les autres hommes qui me bouffent les seins, me caressent partout. Je prendrais bien une seconde bite dans mon vagin et une 3e dans mon cul si c’était possible. Je veux qu’ils me remplisse tous mes trous et boire leur sperme. Comme si mon maître l’avait compris, il m’ordonne de lâcher la femme et de m’asseoir sur la bite d’un homme. Un autre homme se positionne derrière pour me sodomiser. Je vois le 3e homme présenter son sexe pour que je le suce. J’adore. S’ensuivent des mouvements endiablés de ces hommes qui me bourrent chaque orifice. Je crie tellement c’est bon le rythme s’accélère. Les mouvements sont très rapides. Les hommes tournent entre eux et chaque fois, ils vont plus vite. J’entends des mots crus du genre : « tu aimes salope ? On va te garnir ton cul ». J’aime ça. Je commence à entendre des gémissements. Le rythme qui s’accélère encore une fois. Des véritables marteaux piqueur me défoncent de partout. Je ne contrôle rien. Je vais être exhaucée, je vais recevoir leur sperme partout en moi, dans chaque trou y compris ma bouche. Je reçois les premières giclées. Je sens le sperme chaud couler dans mes orifices. Je reçois du sperme à outrance. J’en avale autant que je peux. J’en reçois sur le visage, dans les cheveux. Je n’avais pas vu que d’autres hommes se branlaient sur moi. Une véritable douche de sperme. Je suis la traînée de mon maître qui s’approche de moi et qui me dit : » tu vas bien, tu parais essoufflée. Maintenant que les préliminaires sont terminés, on passe aux choses sérieuses ? »

Le sperme coule de partout sur mon corps. Je suis bien remplie par tout ce foutre chaud. J’en profite pour en lécher un peu de celui que je peux attraper. C’est trop bon d’être une salope soumise. C’est ma vie.

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