Je suis infirmière depuis quelques années à la clinique de Saint Etienne. J’ai un fantasme, laissez moi vous le présenter.
Je frappe à la porte de ta chambre car c’est moi qui vait m’occuper de toi.
– Bonjour Monsieur ! Je suis votre nouvelle infirmière Marion. Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?
– Moyen. Comme hier…
– J’ai récupéré votre dossier et vos constantes ne sont pas très bonnes et fluctuent beaucoup. Je vais être plus attentive et je vais m’occuper exclusivement de vous.
Je prend le brassard pour prendre ta tension. Je te met l’oxymètre sur le doigt pour le niveau d’oxygène. Puis je te prend sa température. Ensuite je prend le stéthoscope et je soulève ton T-shirt pour t’ausculter comme il faut. Mes mains effleurent ta peau. Je pose ma main sur ton corps. Je te caresse un peu mais je me reprend car je dois rester professionnelle.
– Je suis désolée, je ne sais pas ce qui m’a pris.
Tu souris et je continue ma consultation.
– Votre cœur bat très vite. Il faudra surveiller ça. Je dois également vous faire une nouvelle prise de sang. Vos résultats d’analyses ne sont pas très bons. Vous avez des carences et des manques de…
– Et c’est grave ?
– Non, on a de quoi y remédier. Laissez moi vous faire votre prise de sang.
Je remonte la manche de ton T-shirt afin de te poser le garrot, j’en profite pour faire glisser mes mains le long de ton bras. J’aime le contact de mes mains sur ton corps. je m’applique pour te piquer sans te faire de mal. Je rempli les trois tubes sans difficulté. Une fois l’aiguille enlevée, je te met un petit coton et je te dis de bien appuyer et ensuite je te met un pansement délicatement.
– Allez, maintenant c’est l’heure de votre toilette. Aujourd’hui il nous manque des aides soignantes donc c’est moi qui va vous la faire.
Je te déshabille avec plaisir. Je te recouvre avec le drap pour ne pas que tu attrapes froid le temps que je prépare la bassine d’eau.
Je reviens, je mouille le gant dans l’eau assez chaude, je met du savon liquide et je le lave le visage que je rince ensuite. Je te l’essuie doucement. Tes lèvres m’attirent et je me permet d’y poser un baiser. Tu ne dis rien, tu me laisses faire.
Je reprend le gant et je fais la toilettes de tes aisselles.
Ensuite ces ont les parties intimes que je dois nettoyer. Je le fais délicatement pour ne pas te faire mal. Une fois que c’est lavé, rincé et séché, je remarque que ton sexe est devenu un peu dur au contact de mes mains. Je ne dis rien et je continue mon travail. Je vais chercher la crème hydratante que j’applique sur tes jambes, sur tes bras, ton dos, ton torse. je t’applique ça très tendrement et ça te fait un bien fou. Lorsque j’ai fini, avant que je m’éloigne, tu m’agrippes par le bras et tu me tires vers toi. Tu me prends le visage et tu m’embrasses langoureusement. Je te rend ton baiser et là tu me dis :
– J’ai envie de vous !
Et je te réponds :
– J’ai envie de vous sucer Monsieur.
Je commence à prendre ton sexe dur entre mes mains. Je commence à te branler et je vois que tu aimes ça.
– Je suis en manque de sexe, ce sont ça les carences sur les résultats d’analyses. Suce moi !
Je m’exécute, je prend ton sexe dans ma bouche, je te suce tout en donnant des petits coups de langue. Je fais des va et viens avec ma bouche. Tu aimes ce que je te fais. Tu avances ton sexe pour que je l’ai bien profond dans la gorge. Ensuite tu m’ordonnes :
– Bouffe moi les couilles !
Je m’exécute à nouveau. Je te gobe tes couilles dans ma bouche, une fois la gauche, une fois la droite. Je te les lèche. Tu aimes ca. Je continue, je prend les deux couilles dans ma bouche. Je continue encore à te lécher. Je sens ton excitation monter. Tu gémis. Tu en veux pas jouir comme ça alors tu me demandes de te chevaucher.
Je remonte ma blouse d’infirmière et tu remarques que je n’avais pas mis de culotte. Tu me mets des doigts dans ma chatte et je gémis de plaisir. Dès que tu arrêtes je viens sur toi , je me frotte contre toi, je sens ton sexe dur contre moi. Je le met en moi et j’entame de longs va et viens.
– Qu’est-ce que tu es bonne !
Je te souris et j’accélère le mouvement de mes hanches. Ca fait un petit moment que tu n’as rien fait. Tes couilles sont pleines et tu les vides en moi. Je t’embrasse, je reste encore un peu sur toi quelques minutes. Je me redresse et je te dis :
– Je dois reprendre mon travail. J’ai d’autres patients à m’occuper.
– A t’en occuper comme ce que tu as fait avec moi ?
– Qui sait… A plus tard.
Je quitte ta chambre et te laisse dans tes pensées.
Fin